A la mort d'Ettore, cest Roland, le fils cadet, qui reprend l'entreprise. Secondé par lingénieur Marco, il se recentre sur des contrats passés avec la Défense Nationale et passe aux oubliettes le Type 73A étudié par son père peu avant sa disparition.
Il sagissait dune petite voiture mue par un petit 4 cylindres de 1.500 cm3 et qui, pourtant, semblait bien adaptée à la situation daprès-guerre.
Il faudra attendre 1951 pour voir une Bugatti au salon de lauto est ainsi présenté le Type 101.
Mais il ne sagit rien dautre que dune caisse montée sur un châssis de Type 57 consue en 1933 et Roland na pas le génie de son père ou de son frère.
Plus tard, les Types 251 (voiture de course avec 8 cylindres à lAR qui fera une sortie catastrophique au Grand Prix de Reims 1955). Maurice Trintignant abandonne, ayant des difficultées à conduire cette voiture instable. Le manque de finance ne pouvant pas permetre de finir la mise au point.
Le cabriolet 252 ne permettra pas de renverser la vapeur. Bugatti cest bien fini.
Et, en 1960, lusine sorientera définitivement
vers la mécanique générale avant de rejoindre
le giron dHispano-Suiza. Pour entrer dans la légende.